Vous êtes confronté(e) à une difficulté personnelle ou relationnelle persistante ?
Vous avez déjà essayé plusieurs solutions, mais la situation ne s’améliore pas, voire s’aggrave ?
La thérapie brève, issue de l’École de Palo Alto, propose une approche pragmatique et concrète pour mieux comprendre ce qui maintient la situation et expérimenter de nouvelles stratégies adaptées à votre réalité.
La thérapie brève peut concerner les adultes, les adolescent·es et les enfants.
Quand une difficulté concerne un enfant, il n’est pas toujours nécessaire qu’il soit présent en séance : selon la situation, un travail avec l’un ou les deux parents peut suffire à faire bouger les choses.
Cette approche devient pertinente quand ce que vous avez déjà tenté ne fonctionne pas, ou aggrave la situation.
Elle peut convenir si vous vous sentez bloqué·e, inquiet·ète ou dépassé·e par une difficulté qui prend trop de place dans votre vie.
Cela peut être une relation qui s'envenime, un comportement qui vous échappe, un stress qui s’installe, ou cette impression de répéter toujours la même scène, sans parvenir à en sortir.
L’objectif, ce n’est pas de comprendre pourquoi ça coince, mais de trouver comment ça peut évoluer.
On explore ensemble ce qui entretient le problème, pour faire émerger d’autres façons d’agir, de réagir, ou d’interagir.
La thérapie brève, c’est une façon de sortir d’un problème qui résiste, parfois depuis longtemps.
On part d’un principe simple : si ce que vous faites pour le résoudre ne fonctionne pas, en faire plus ne réglera rien.
Parfois, le simple fait d’arrêter ce qui ne marche pas… peut déjà tout changer.
Alors on explore d’autres pistes — y compris celles que vous n’auriez pas envisagées spontanément.
Un peu comme ce savon mouillé : plus vous le serrez pour le retenir, plus il vous échappe.
C’est peut-être en relâchant la pression qu’on arrivera enfin à s’en saisir.
"On ne peut pas espérer que quelque chose change si l’on fait toujours la même chose."
C’est sur cette intuition qu’un groupe de chercheur·se·s a bâti, dans les années 60 à Palo Alto, une approche radicalement nouvelle.
Anthropologues, thérapeutes, experts en communication… Leurs disciplines étaient différentes, mais leur objectif commun : comprendre ce qui bloque dans les relations humaines, et agir de façon concrète là où d’autres méthodes peinaient à débloquer les situations.
En observant finement les interactions, ils ont mis en lumière des schémas répétitifs et conçu des interventions brèves, précises, souvent efficaces même dans des contextes très complexes.
C’est cette approche que je mobilise aujourd’hui : pour éclairer autrement les situations difficiles, repérer ce qui alimente le problème, et ouvrir des pistes d’action adaptées à votre réalité.
Ce qui pose problème, ce n’est pas toujours la situation en soi, mais la façon dont chacun y réagit.
Les paroles, les gestes, les silences… peuvent, malgré les bonnes intentions, entretenir ce qu’on aimerait justement voir changer.
La thérapie brève permet de repérer ces logiques interactionnelles et d’explorer d’autres façons de faire.
On ne cherche pas à tout analyser, mais à comprendre ce qui se passe ici et maintenant — et à expérimenter, ensemble, des ajustements concrets, pour redonner un peu de souffle à ce qui s’était figé.
Demander de l’aide n’est jamais simple. Mais parfois, on se retrouve face à une situation qui s’enlise : un mal-être qui s’installe, une tension qui dure, des efforts qui n’aboutissent à rien.
Peut-être avez-vous déjà tout essayé, sans vraiment comprendre pourquoi rien ne change.
Vous ne savez plus trop par où prendre les choses, mais vous sentez que seul·e, ça ne suffit plus — et qu’un regard extérieur pourrait vous aider à y voir plus clair.
C’est dans ces moments-là que cette approche peut être précieuse : pour poser un nouveau regard sur ce qui résiste, et explorer, ensemble, des pistes concrètes pour sortir de l’impasse.
Cette approche ne fournit pas de solution toute faite. Mais elle permet souvent de mieux comprendre ce qui entretient la difficulté, et de retrouver des points d’appui concrets là où il n'y en n'avait plus.
Le travail ne s’arrête pas à la séance. À chaque fois, des propositions sont faites pour être testées ensuite.
Elles peuvent parfois sembler à contre-courant : c’est justement ce décalage, parfois inattendu, qui permet au problème de réagir autrement.
Parce qu’elle se concentre sur une difficulté précise, définie ensemble, cette démarche reste ciblée et efficace.
Et dans bien des cas, quelques séances suffisent pour amorcer une évolution tangible.
Un accompagnement en thérapie brève peut être aidant dans de nombreuses situations du quotidien,
mais ne remplace en aucun cas une consultation médicale.
N’étant pas médecin, je vous invite, en cas de doute, à en parler avec votre professionnel·le de santé habituel·le.
Séances au cabinet à Draveil ou en visio*.
* après au minimum une séance en cabinet, et seulement si cela me semble adapté à votre situation.
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